Du vertige à la fascination
Les falaises de Bonifacio, majestueuses et impressionnantes, dominent la mer Méditerranée de leur blancheur éclatante. Ce paysage unique, sculpté par le vent et les vagues, offre une vue imprenable juqu’aux portes de la Sardaigne.
D’une vertigineuse beauté, ces falaises sont à la fois, un rempart infranchissable, et … la fascinante fragilité d’un monde accroché à l’impermanence…
Le sentier part de Bonifacio et mène au phare de Pertusatu. Tout au long du chemin, les falaises se dévoilent dans leur splendeur immaculée. De loin, elles apparaissent comme de solides murailles naturelles.
Un rempart infranchissable.
Les falaises sont composées principalement de calcaire, une roche sédimentaire formée il y a des millions d’années. Les strates de calcaire superposées donnent un aspect stratifié, rappelant les pages d’un livre ancien.
Ces parois vertigineuses ne sont pas aussi robustes qu’on aimerait l’imaginer! A y regarder de plus près, elles évoquent plus un feuilleté friable qu’une enceinte inaltérable! L’érosion millénaire a creusé et façonné des formations spectaculaires, témoins de l’incessant combat entre la roche et les éléments. Les bouches de Bonifacio sont soumises à des vents violents, des vagues tumultueuses qui usent les parois et en arrachent des pans entiers, créant des éboulements spectaculaires.
Les falaises, bien que monumentales, témoignent de leur vulnérabilité face aux éléments. Les couches de roche, constamment érodées par les vents puissants et les vagues tumultueuses de la Méditerranée, se détachent parfois, créant des éboulements spectaculaires.
Ce phénomène naturel souligne la beauté éphémère et la fragilité de ces formations géologiques, rappelant que même les paysages les plus imposants sont soumis aux forces inexorables de la nature.
Au loin, la cité de Bonifacio, en équilibre au-dessus des flots, n’en est que plus éblouissante!
Paysages extraordinaires ! Je n’y suis pas restée assez longtemps à Bonifacio, je la re-découvre à travers ton reportage magnifique, ta jolie plume … Merci.
Tu pourras y retourner, Bonifacio, on y est revenu plusieurs fois pendant le séjour. C’est fascinant