Sortie dans la houle. La meilleure façon de tester l’équilibre et la planche
1.5 mètre de houle
Deux heures de contemplation sur l’eau
Départ d’Amélie par 10 degrés, il faut une bonne motivation pour hisser le paddle sur le toit. La récompense : 23 degrés au Racou, . Ok… l’effet bitume joue, néanmoins, la combi shorti est encore suffisante.
Les modèles météos s’ils n’étaient pas d’accord sur l’état du ciel, annonçant du grand soleil ou de la pluie, ou de larges passages nuageux, voire de l’orage, en revanche, ils s’accordaient sur l’état de la mer. Unanimes toutes les météo prévoyaient 1.3 à 1.5 mètre de houle. Le vent par contre serait faible en matinée.
Impossible de résister à l’appel du large. Malgré une petite difficulté à traverser les premiers rouleaux d’écume, me voici sur le plan d’eau du Racou. Une première, je ne l’avais pas encore testé. L’été, il y a trop de monde pour s’aventurer dans les parages.
Je me glisse avec délice entre les vagues, qui, si elles se font discrètes sur les photos, étaient bien présentes. Des nuages viennent d’Espagne et envahissent les premiers sommets des Albères. Le vent reste aux abonnés absents, mais je discerne au large, un changement de couleur de l’horizon. Après deux heures de cabotage, je préfère rentrer. Je ne suis pas encore au niveau, pour gérer houle et vent.
Contempler le massif du Canigou depuis la mer… Pur bonheur !
Avant de reprendre la route, je me fais une petite copine, très intéressée par L’Oasis de Nat 
Nat Dom,
Quelle belle aventure Nat et comme tu dis si bien du pur bonheur c’est toujours un plaisir de voir tes magnifiques photos et aussi lire tes jolis récits tu nous fais voyager et tu partage de très beaux moments avec nous..
Merci
hé oui, c’est pas grand chose, juste une petite évasion, et pourtant, c’est que du bonheur 😉
Magnifique !!!! Récits et photos sont vraiment très très chouette !
Hâte d’avoir l’occasion de flotter sur l’eau en ta compagnie….
Mais du coup je vois que toi tu as une planche en dur, tu gonfles pas courageusement avant de mettre à l’eau.
Hi,hi … ça dépend, en itinérance je gonfle, et dans les PO, je hisse sur le toit de la voiture