Bonjour,
Cela faisait bien longtemps que je n’avais vu de pélicans. J’ai trouvé, les îles du Pacifique bien « désertes » côté ornithologique. J’exagère… les oiseaux fréquentent aussi le Paradis, mais ils sont peu nombreux et depuis les Galapagos, je n’avais plus vu de pélicans. J’aime les pélicans! Ils sont en deuxième position au palmarès de mes préférences.
En tout premier : Miss Hirondelle. Car l’hirondelle est voyageuse, elle cherche le soleil. Lorsque j’avais une maison en Bourgogne, j’imaginais chaque automne, lorsqu’elles se rassemblaient, me joindre à elles. Les mots : « partir », « voyager », « hirondelles » sont intimement liés dans mon subconscient toujours en exile.
Quant aux pélicans, ceux qui nous suivent depuis le début, savent que nous avons eu nos chouchous à bord, dont un certain « Arthur » qui avait pris possession de notre pont, de notre cockpit et qui d’ailleurs faisait trempette avec moi autour du bateau. Ils ont un air débonnaire, ils sont muets, mais déterminés, leur allure si étrange dans leur redingote me fait rire. …
Ces dernières années j’avais été privée de leur présence. Ils me manquaient. Je les retrouve donc avec bonheur. Mais… ici, ils ont toute autre allure que dans la Caraïbe.
L’Australie est riche d’une faune variée, et il n’est pas nécessaire de se perdre dans des contrées lointaines pour l’observer. Il suffit de se balader le nez en l’air, d’être à l’écoute des chants, pour trouver foule d’oiseaux tout prêts à jouer les stars devant l’objectif. Dont un duo inusité d’un corbeau et d’un cormoran se disputant sur les écoutes d’un chalutier. Des perruches curieuses qui s’invitent dans les restaurants des cités balnéaires…
A plus, pour vivre ensemble nos derniers jours en Australie
Nat et Dom
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