Bonjour,

Et voici une nouvelle série de clichés de Luengôni, j’en fais une réelle orgie! Je me remplis l’âme des couleurs d’eau que j’aime tant. Impossible à expliquer : loin d’un caprice, d’une marotte, ou d’une fantaisie, c’est une passion dévorante! Quand l’océan est trop loin de moi, il me manque. Dom me répète, alors que notre Étoile est ficelée au port, « mais il est là l’océan ». Bien non, il ne me suffit pas de flotter pour me sentir « entière ». Je dois le vivre, le sentir, je veux plonger mon regard jusqu’au fin fond de son horizon. J’ai besoin de lui, au-delà de l’explicable. Quand son beau miroir se ternit, mon humeur s’assombrit. Il me manque, même au port!

J’ai besoin de le voir, resplendissant, tel un joyau. Besoin de cette surface sans barrière comme spectacle permanent.

A Luengôni, je suis comblée! Le ciel, comme un cadeau, laisse au large ses gros grains menaçants. Je me repais de ses eaux cristallines… Alors si vous êtes comme moi, voici un partage du fond du coeur!

Nat et Dom
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