Bonjour,

Ce matin, tandis que la nuit nous a donné la sensation que le ciel polynésien nous tomberait sur le bout du mât, je dis à Dom : « mais qu’est ce qu’on a donc choisi comme vie? » Moment de fatigue passagère qui traverse la vie de tout voyageur. Et me reviennent en tête de douces images… Celles des farés au bord du lagon, baignés des rayons de soleil alors que le vent si léger n’était qu’une brise tamisant la chaleur. Quelle vision ont donc leur propriétaire de cette pauvre chose jaune accrochée à sa chaîne en pleine tempête? De tout leur confort terrestre, imagine-t-il notre quotidien?

Avec délice, je me souviens des petits conforts si rassurants d’une maison.
Et si nous rêvions ensemble, et en images(!) d’une vie au bord du lagon?

A plus pour la suite de ce songe si doux
Nat et Dom