Bonjour,

Aujourd’hui, 21 septembre, nous fêtons le premier jour de printemps austral, il précède la saison cyclonique que nous espérons clémente, sachant que Niño pointe le bout du nez pour la Noaa, statistiquement l’ouest Pacifique devrait moins souffrir des cyclones que le centre… à voir. Mais pour le moment occupons nous des Fidji (en français avec un « d » en Fidjien et en anglais, sans « d »)

Ce séjour fidjien nous aura redonné de bonnes jambes!
Nous avons toujours aimé marcher et grimper sur les collines. C’est une passion que Dom m’a communiquée depuis les premiers jours de notre vie à deux. Les Fidji recèlent d’un nombre incalculable de sentiers qui mènent aux crêtes des îles, et qui redescendent vers de superbes plages désertes. La plupart sont faites de sable blanc, de la consistance de la farine. Un ravissement que nous aimons apprécier depuis les sommets des îles. Nous sommes surpris de voir tant de plages sur un socle volcanique. Dès que l’érosion a creusé une alcôve dans la roche, une plage s’y love avec délice. Elle entraîne un cortège de végétation de rivage : résiniers, cocotiers, hibiscus sauvages… Les côtes sont ainsi faites de roches noires, de sable blanc, de végétation bruissant dans l’alizé. Ces attributs ne sont-ils pas l’apanage du paradis au sens le plus communément utilisé par tous les voyageurs?

Aujourd’hui je vous emmène à Honney Moon Bay. Il en fallait au moins une!

Balade sur la plage, main dans la main, puis de retour vers Korovou, nous trouvons un sentier qui se faufile entre des acacias de taille moyenne. Ils bouchent le panorama. Mais notre détermination à poursuivre ce chemin est payante. Au bout, tout au bout de la crête, une clairière s’ouvre sur trois plages blotties au creux de collines ondoyantes.

A plus, pour d’autres balades en images
Nat et Dom