Bonjour,
Nous quittons BKK en train. Un contrôleur, très strict, très serviable, qui rend service (bagages) sans un regard, ni une réponse aux Kop Koun Ka que j’appuie d’un sourire m’impressionne beaucoup. Le train semble n’être jamais à l’heure sur cette ligne, à moins que ce soit une épidémie qui règne sur le pays? Arrivés avec presque deux heures de retard, nous sommes accueillis par Jai, un garçon qui parle admirablement l’anglais et qui sera notre « bon samaritain de Pak Chong ».
Pak Chong est encore une ville trépidente, traversée de grandes artères à 3 voies dans chaque sens. Le tuk tuk de Jai fonce sur les voies rapides. Et nous emmène au « Jungle House ».
A l’arrivée nous ne comprenons pas le nom, car situé au bord de la route, puis, il nous suffit de pénétrer de quelques mètres vers la montagne pour trouver un chemin qui sillonne effectivement la « jungle » inextricable. Les écureuils s’y ébattent tranquillement tandis que les éléphants qui officient en tant que « taxi brousse » le jour s’y reposent et s’y nourrissent la nuit.
Nous passons sans sourciller d’un monde à l’autre, du fourmillement bruyant au « silence » habité de chants d’oiseaux de la forêt.
A plus,
Nat et Dom en voyage en Asie
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