
Les persiennes closes à la chaleur

Rue du Court de Fontmichel

Hôtel Cour de Fontmichel, auparavant Hôtel de Théas, date du XVIIe siècle

La fontaine témoigne de l'emplacement de l’hôpital St Jacques, datant du XIIe siècle

Hôtel Hugues Ainée, témoin des années fastes de la parfumerie à Grasse

Cathédrale Notre Dame du Puy construite à partir de 1244

Cathédrale Notre Dame du Puy , style roman alpin

Cathédrale Notre Dame du Puy

Hôtel de ville depuis 1790, ancien palais épiscopal

Jardins de l'hôtel de ville

Pas d'âne, ruelles en escalier de Grasse

Les vieilles demeures témoignent du faste d'antan

Le Carillon de la Rue de l’Oratoire

La maison du chat sur le parvis de la Chapelle de la rue de l'Oratoire

Les couleurs du Sud

Place des Aires, fontaine datant de Louis XV

Costume traditionnel sous les ombrelles roses de la ville

La lavande emblème de la Provence

Le charme des ruelles entre balcons fleuris et parapluies rose

L'arche qui relie le Palais épiscopal à la cathédrale

Les armoiries de Grasse L’agneau pascal, portant une longue croix à laquelle est attaché un étendard, le tout surmonté d’une couronne de Comte Bigarrée représente la ville depuis le XIIIe siècle.

Armoiries des gantiers-parfumeurs

Demeure de la Marquise de Cabris, actuel musée

Les portes s'ouvrent sur des escaliers qui donnent sur d'anciennes tanneries

Heurtoir

Les nougats de maître gourmet Bernard Morin

Fragonard et son musée

L'horloge poète

Palais des congrès

Demeure de la Marquise de Cabris

Tour de l'Horloge

Une place qui prend tout son sens en été dans les fortes chaleurs

A l'ombre des parapluies roses symbolisant le parfum de l'une des fleurs emblématiques de Grasse
Que de belles couleurs
Ateliet confiserie nougat? Pas du tout. Revendeur de Nougat industriel a 80€ le kilo
Oui, on s’en est rendu compte, après… désolés, nous sommes partis de Métropole pendant 20 ans, et on revient, tout naïf… on s’est fait avoir deux, fois, pour des nougats et après pour de la charcuterie et autres « produits artisanaux » à Gordes… décidément. Je pense corriger l’article, mais je laisserai votre commentaire, pertinent, néanmoins nous n’avons pas payé 80 euros le kilo, mais … 60 euros, ce qui est beaucoup quand même. Et je ne vous parle pas des fromages « au basilic » acheté à Gordes. Ils étaient bons dans le magasin, une horreur ce qu’on a ramené à la maison. Effectivement, il faut se méfier de ces devantures aux airs faussement artisanaux. Merci à vous, et restez vigilant